L’Homme qui court – Madagascar

100/75 cm – Huile – 2020 – JTFouletier

n’en déplaise à ceux qui s’en satisfont pour se présenter, « Je suis confiné » n’est pas une identité.

Pas plus d’ailleurs que quelque « Je suis… » que ce soit . C’est finalement la tonalité de ce que véhicule l’ensemble des différents éléments placés depuis quelques mois sur ce site, cela dans la continuité de ce qui le spécifie.

A savoir que si la croyance en « l’identiquité » – une identité qui se correspondrait à elle-même – est la tournure sombre et forcée qui nous est proposée, elle ne souffre pas la comparaison avec la présence de ce qui, La présence, la représente :

Le style !

Oui, le style, reste incompressible de la différence reconnue, support de la singularité.

BonneS découverteS !

Tableaux
Une succession de corps verticaux
L’Homme qui court – Madagascar – : Depuis une exposition à Antananarivo en 1999
Il est temps de se lancer : Depuis une exposition à Romeyer en 2011
Un corps de l’Autre : Celui qui « fédère » à condition d’être nommé, Homme, virus…
Nolli me tangere Le saut – La suspension – Une chute : Depuis l’oeil du cyclone

Dessins
Une cinquantaine de nouveaux à découvrir sur deux pages.

Audio
Interview

Covid, peur et soumission sur RDWA, la radio du Diois.

Textes
Écrits
La nue-propriété : Réponse à une sollicitation à propos d’un article : « L’État de droit est mis à nu ».
Idées au logis : Idées extraites de mon dossier « Idées ».
Un certains nombre de...: Expression « France Culturienne », mais pas que: une horreur.

Psychanalyse
Ça urje wo es war : Pour faire suite à une intervention du groupe Place Analytique.