4eme geste et 4 premiers gestes de Taï Chi style Zhao Bao le 20/04/2020
Photo : Jean-Marc Legendre
Le 4ème geste, le geste d’après, celui d’avant, autant de gestes que vous voulez ou que vous pourrez seulement imaginer… Tous à se définir de tenir la ligne sur laquelle ils se posent.
Cette ligne est tout à fait autre chose que quoi que ce soit que l’on puisse « comprendre ». Ce n’est pas que ce soit mal de « comprendre », c’est simplement que ce soit la marque d’une insuffisance. Laquelle, comme chacun le sait, socle la suffisance.
Être amené à saisir cela par le truchement de ce que par habitude, puis par oubli, l’on nomme puis l’on dénomme le corps est pour le coup, aux yeux de la comprenoire, un tour de force auquel elle ne se résout pas. Je dois dire également « par lequel elle, la compréhension, ne peut en aucun cas trouver résolution ».
» Produire la rature seule, définitive, c’est ça l’exploit de la calligraphie. Vous mettrez très longtemps à trouver de quelle nature ça s’attaque et de quel suspens ça s’arrête, de sorte que ce que vous ferez sera lamentable, c’est sans espoir pour un occidenté. Il faut un train différent qui ne s’attrape qu’à se détacher de quoi que ce soit qui vous raye. Entre centre et absence, entre savoir et jouissance, il y a littoral qui ne vire au littéral qu’à ce que ce virage vous puissiez le prendre le même à tout instant. C’est de ça seulement que vous pouvez vous tenir pour un agent qui le soutienne. » (Jacques Lacan – Lituraterre).
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